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ABSTRACTAfter some methodological observations, Ludwik Ehrlich begins his course with a history of the issue. He presents some basic questions related to terminology, the legal nature of interpretation, and the rules for the interpretation of treaties. He then studies the essential assumptions of interpretation, and then addresses the issue of the search for willingness in the text and the issue of the search for the willingness outside the text.

Après quelques observations d'ordre méthodologique, Ludwik Ehrlich commence son cours par un historique de la question. Il présente ensuite quelques questions fondamentales relatives à des questions de terminologie, à la nature juridique de l'interprétation, et aux règles pour l'interprétation des traités. Il étudie ensuite les prémisses nécessaires de l'interprétation, puis aborde la question de la recherche de la volonté dans le texte et celle de la recherche de la volonté en dehors du texte.

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ABSTRACTLudwik Ehrlich explains that the science of international law is a positive science, which means that it deals with facts and not with inferences drawn from a priori accepted principle. The phenomena studied by the science of international law are the facts related to the establishment and application of the rules of international law. The author presents the science of international law by beginning with a presentation of the canonistic period. He examines the debate between naturalists and positivists, next successively the period of transition period, and finally neo-positivism.

La science du droit international, explique Ludwik Ehrlich, est une science positive, ce qui signifie qu'elle s'occupe de faits et non de déductions tirées de principe acceptés a priori. Les phénomènes étudiés par la science du droit international sont les faits liés à l'établissement et à l'application des règles de droit international. L'auteur présente la science du droit international en commençant par une présentation de la période canonique. Il étudie ensuite le débat entre naturalistes et positivistes, puis la période de transition qui a suivi, et enfin le néo-positivisme.